Et pendant ce temps, à Sofia...
Roman-photos de l'été
Roman-photos de l'été
Violence des couleurs, mais pas seulement !
Vous avez déjà pensé à un bijou-sushi, vous ? Plutôt envie de sentir le calamar ou la crevette ? Le luxe ici, se montre dans les bijoux, les perles précieuses... On est dans l'ère de la Fashion Food !
A propos de Manger japonais à Sofia : tout un art !
Les rares restaurants qui proposent cela n'ont de japonais que leur assiette en plastique et leur sauce au soja sucrée. Les sushi ou maki ne sont pas réussis (sauf pour ceux qui ne s'y connaissent pas), les morceaux de poisson sont mal coupés, mal décongelés, mal aimés, mal notés.)-: > Dans la série des restaurants à éviter, à oublier, à ignorer, à se méfier : il y a le restaurant populaire de la chaîne des Happy qui vous présente des Happy Sushi qui ont de sushi le nom, c'est tout ! Non, en fait, ils ont aussi les moyens de faire de la pub 4 par 3 pour parler d'une Fashion Food, et c'est tout ! Presque en face, il y a aussi ce restaurant qui s'affiche en restaurant japonais (toujours dans la rue Rakovski) mais qui est seulement capable de vous servir des sushi thon couleur sable (car le thon rouge vif a été décongelé maladroitement au micro-ondes quelques instants avant d'être servi) ou encore le restaurant haut de gamme Sasa, au sommet d'une tour et qui dispose d'un panorama impressionnant sur tout Sofia mais pas sur sa carte hyper expensive pour si peu... En effet, les tempura (beignets) sont très gras et les sushi ne sont toujours pas des sushi, seulement des morceaux de poisson coupés trop fins, ou trop étroits, ou trop pas assez bien.
:--) > Un seul restaurant retient toutes les attentions, et surtout celles des Japonais expatriés à Sofia : le Miyabi, dans la rue de la Stara Planina, juste en face de l'Opéra qui donne sur la Dondukov. C'est très réussi. Il n'a ouvert que depuis janvier 2011, son chef qui a suivi des cours de coupe et de fabrication de suhi, maki, nigiri et sashimi au Japon pendant plus de 3 ans. Espérons que le restaurant tienne longtemps et que son chef ne parte pas ailleurs, comme c'est trop souvent le cas, une fois que la clientèle du restaurant est acquise... Oui, le Miyabi, il n'y a que ça !
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Sofia, 1 août 2011, 32°C
C'est curieux qu'il y en ait si peu. Pourtant, une amie qui vit à Sofia me parle souvent de la diaspora japonaise et des actions culturelles qui y sont dispensées. Je vois souvent des photos de cérémonies de thé faites par de jeunes Bulgares (encadrées par des Japonaises). Tout me laissent penser que les Sofiotes connaissent mieux la cuisine japonaise que n'est la réalité.
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