Parfum

 

Peu importe la pluie, le déluge, toutes ces journées qui ont la lumière de l'automne !!!

Les roses fleurissent de partout et c'est simplement magnifique !

Bientôt la Fête des Roses dans la vallée des roses, d'ailleurs !

"Sofia's last ambulance"

VIENT DE RECEVOIR LE PRIX "REVELATION FRANCE 4"

Eh oui, Cannes cru 2°12 donne naissance à un nouveau prix et surtout à un nouveau primé... Cette année, c'est un documentaire bulgare sur les urgentistes sofiotes. On est loin de Grey Anatomy (!!!) mais je ne suis pas sûre que Sofia soit lisible sous cet oeil là aussi ! Moi, d'ici,  et seulement depuis la bande-annonce, je n'ai pas tout reconnu ! Alors... il me tarde d'aller découvrir ce film avec, comme pour vous, le sous-titrage anglais ! Qui sait, peut-être qu'il passera dans la capitale de Sofia  avec le sous-titrage pour les étrangers vivant ici ??? Je le souhaite !

A présent, permettez-moi de vous ouvrir les guillemets ! Le texte qui suit est un texte d'information signé par un journaliste compétent de l'Agence France Presse : 

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Documentaire - "Sofia's last ambulance": le quotidien, sur le fil, de secouristes bulgares

"Sofia's last ambulance" est un documentaire saisissant d'Ilian Metev qui montre le quotidien, sur le fil, d'une équipe de secouristes, hymne à la bienveillance sur fond de critique de la décrépitude du système de santé bulgare.
Dans une ville, Sofia, qui ne possède que 13 ambulances pour deux millions d'habitants, Krassi, Mila et Plamen sillonnent les rues à bord de leur ambulance et tentent, avec leurs maigres moyens, de sauver des vies.
Présenté mercredi dans la Semaine de la critique du Festival de Cannes, le documentaire se concentre exclusivement, en plans serrés, la caméra fixée sur le tableau de bord de l'ambulance, sur ce trio composé d'un médecin, d'une infirmière et d'un chauffeur-brancardier. Pas de paysage, de plaies ou de visages de malades déformés par la souffrance.
L'intensité du supplice des personnes secourues est perçue à travers la ride d'inquiétude sur le front de Mila ou les mots réconfortantSSSSSSSSSSS  qu'elle trouve, le temps de les transporter à l'hôpital. "Ma chérie, ma chérie, tu vas tenir, compte avec moi les derniers nids de poule", dit-elle à une enfant que les secousses du véhicule torturent.
A la manière de la série médicale américaine "Urgences", les spectateurs écoutent, en passagers clandestins, les discussions entre ces trois héros ordinaires et leurs états d'âme. "Comment va ta vie amoureuse ?", demande Plamen à Mila. "C'est le néant", lâche-t-elle.
Quand le standard téléphonique les contacte à la radio pour annoncer qu'ils doivent secourir une femme qui a tenté de "s'avorter en prenant des médicaments", l'équipe s'agace. "Qu'elle prenne sa voiture et aille à l'hôpital". Réponse de l'opérateur: "ils sont en panne d'essence".
"L'objectif était presque exclusivement dirigé sur les visages de nos héros pour préserver la dignité des patients, pour stimuler l'imagination du spectateur et pour saisir le monde de nos protagonistes à travers eux", a expliqué le réalisateur trentenaire, ancien violoniste concertiste reconverti en cinéaste après des études à Londres.
"Maintes et maintes fois, j'ai été témoin des absurdités d'un système de santé sur le point de s'effondrer", ajoute-t-il, précisant que le documentaire a été tourné sur une période de deux ans et qu'"absolument rien de ce que l'on voit n'a été mis en scène".
Mercredi, à l'issue de la projection, réalisateurs et secouristes étaient en larmes. Nombre de spectateurs aussi.

AFP 

 " 

En prime la bande-annonce sur ce lien : BANDE-ANNONCE

POur information :
"Le prix Révélation "France 4", doté de 4 000 euros, revient donc au Bulgare Ilian Metev pour son documentaire Sofia's Last Ambulance, qui montre le quotidien, sur le fil, d'une équipe de secouristes en butte à la décrépitude du système de santé bulgare. Le jury international a salué "la retenue et l'engagement" de ce film qui "reflète la vie d'une nation en  transition".
Le Monde

Le centre français de la Révolution

Le connaissez-vous ?

 

Une entrée qui ne paye pas de mine ! J'ai été attirée par l'image sur la droite...

 Pas de doute ! C'est bien la Victoire !

et c'est aussi l'image pour présenter le centre français "La Révolution".

Jamais entendu parler... Il y a un site, on peut se renseigner !

PLUIE et GRELE

J'adore ces scènes de rue !

 

Depuis le cul du tramway, scène de 13h30 mercredi !

 

et tandis que je prenais ces photos, une nouvelle secousse de 4.2 sur l'échelle de Richter a eu lieu...

 

Bien sûr je n'ai rien senti, tellement j'étais emballée par ces images que je prenais. J'avais l'impression de me replonger dans Blade Runner ou alors d'être dans un vieux quartier de Pékin, pendant la saison des pluies !

 

 

Les babas techno !

 

Quel intérêt de prendre une telle image ?

Eh bien, vous n'avez pas le son... Imaginez ces vieilles dames qui marchent cahin cahan sur le trottoir et... qui écoutent de la musique techno grâce à leur téléphone portable ! Si, si ! Je n'invente rien !

Je trouve qu'ici, toutes les personnes âgées se sont mises très vite au téléphone portable, à téléphoner dans la rue, à envoyer des SMS tranquillement installées dans un trolley-bus ou sur un banc public, avec double paies de lunettes ! Rien à voir avec nos "vieux vieux de 77-90 ans", peut-être parce que ici, ils n'avaient rien de moderne avant alors ils s'y sont mis rapido !

 

Au petit matin

du tremblement de terre...

Le ciel est lumineux et Vitosha est sous les nuages !

Et l'après-midi, nouvel orage de grêle !!

TREMBLEMENT DE TERRE DE 5.8 à Sofia

 Voici un extrait de la lettre du Consul 

et quelques images prises à Sofia par mes amies :

"Madame, Monsieur

La Bulgarie a été secouée la nuit dernière, 22 mai 2012 à 03h00, par un séisme d'une magnitude de 5,8 sur l'échelle de Richter selon l'institut sismologique bulgare. L'épicentre de ce tremblement de terre se situe dans la région de Pernik, à une trentaine de kilomètres à l'ouest de Sofia. Plusieurs répliques se sont succédées dans les heures qui ont suivi le séisme, la plus importante (magnitude de 4,4) à 04h30.

 Le tremblement de terre n'a causé aucune victime, mais a provoqué des dégâts matériels à Pernik (cheminées et murs effondrés) et, dans une moindre mesure, à Sofia. L'évènement n'a pas interrompu la fourniture d'électricité et n'a pas non plus perturbé le réseau téléphonique.
Les autorités bulgares ont déclenché un niveau d'alerte rouge à Pernik, notamment en raison de la présence de barrages de rétention, mais également à cause du risque d'affaissement dans cette région au sous-sol rendu instable par l'exploitation minière.

 Dans les minutes qui ont suivi la première secousse, le réseau de sécurité de l'ambassade a été activé. Il s'est avéré que ni les responsables d'îlots, ni les téléphones d'urgence n'ont été sollicités par des compatriotes inquiets.
(......) "

Pour avoir les témoignages... rendez-vous sur le blog de Sofia Accueil.

NB/ Merci à Rita et Katia pour les images !

Atmosphère

Temps de pluie
Pluie toute la semaine, du dimanche au dimanche :

Dans le tramway vers 15h30, les vitres se couvrent de buée, impression que nous sommes en automne.

Colère tranquille

Devant le Palais de Justice de Sofia,

ça barde, ça grince, ça gronde... sous le soleil :

Poupou dans son commentaire a raison...
L'affiche traduite grosso-modo dit : "Le 27 juillet 2008, mon fils a été tué par des policiers. Le Gouvernement comme le juge d'instruction le savent et cachent les preuves"...

Et ils vécurent heureux pour toujours

Les transformations des pianos (suite)

exposition-performance de 10 pianos dans Sofia, du 12 au 24 mai 2012

 

 Et un autre piano devant SVETA NEDELIA

 couvert de ronces et de branchages qui retiennent des bouilloires vert fluo ou une photo d'un couple de jeunes mariés de l'an 1900, à moins que cela ne remonte à l'histoire de la Belle au Bois Dormant ?

L'homme des bois

Les transformations des pianos (suite)
exposition-performance de 10 pianos dans Sofia, du 12 au 24 mai 2012

Drôle de personnage dont la peau est de papier à musique ! Il se trouve à l'abri, sous le corps d'un piano un peu malmené et il essaie de faire un feu, comme du temps des cavernes.

Cela se passe dans le parc Ivan Vasov, à deux pas du théâtre. Le piano a perdu la plupart de ses touches. Certaines se sont organisées pour recréer un semblant d'arbres aux branches entremêlées tandis que d'autres ont accroché leurs noires et leurs blanches à des fils en suspens, comme pour se souvenir d'un temps révolu. Etrange atmosphère ! 

Au départ, en le voyant, j'ai vraiment cru qu'on avait vandalisé ce piano, mais ce serait oublier que nous sommes à Sofia et que la violence telle que nous la connaissons en France n'existe pas encore ici ! Ce qui est un luxe extraordinaire !

L'envol plombé

Quatre séries d'ailes métal qui semblent se déplier comme un accordéon... Cet homme parviendra-t-il à s'extraire de ce qui le plombe pour s'envoler haut, très haut au-delà de ce qui le pèse ?

Pauvre Icare des temps modernes !

Volera, volera pas ?

Cette sculpture se trouve dans l'un des angles de béton de l'immense immeuble qui abrite la mairie de Varna. Ah, la démesure, ça a quelque chose d'absurde tout de même.

 Ce qui est étrange, c'est qu'on peut retrouver cet esprit d'Icare à Sofia, dans le jardin Ivan Vassov, près du Grand Hötel ! Ici, c'est une femme en pierre qui est en position agenouillée et qui ne possède qu'une paire d'ailes ou de volets. Etonnant non ?

Poudrée d'or

la cathédrale de Varna

Ses belles et imposantes coupoles couvertes d'or semblent comme poudrées. C'est la seule deuxième cathédrale de la Bulgarie, car, comme on le sait, les cathédrales ne font pas partie de la tradition chrétienne bulgare.Donc en Bulgarie, il n'y a que deux cathédrales, une à Sofia et l'autre à Varna.

Un peu d'histoire ?
En 1879, l’archevêque Simeon lança l'appel à l'établissement d'un comité citoyen dans ce but et à Varna la décision fut prise de se doter d'une grande cathédrale. Un an plus tôt, la Bulgarie venait de se libérer de la domination ottomane... La construction démarra en 1880 et c'est le chef de l’État, le knyaz Alexandre 1er qui posa la première pierre. Vouée à la célébration de Sainte Marie, la cathédrale de Varna est née d'un projet architectural Maassa, l'architecte d'Odessa et fut inaugurée en 1886.



Dans son style gothique aux lignes bien tranchées,  la cathédrale de Varna diffère fortement de la silhouette adoptée par la Cathédrale Alexandre Nevski de Sofia qui dispose de formes arrondies plus atténuées.

Les thermes gallo-romains

de Varna

 

 Mise à jour en pleine ville mais terrains restés en friche, terrains de jeu à présent pour les chats errants de la ville ! Ca ne vous rappelle pas Rome et son Colisée colonisé par les minets?

 Et après les ruines, les tuiles en un saut !

Pour en lire d'avantage sur les thermes, rendez-vous sur Découvrir la Bulgarie

Fatigue historique

Ce vaste bâtiment renferme officiellement des trésors archéologiques extraordinaires. Vous l'aurez deviné, nous sommes ici devant le Musée Archéologique de la ville de Varna, qui fut d'abord un  lycée en un autre temps. La visite de ses collections permanentes est bien décevante car toutes les pièces de l'or des Thraces ont quitté les étagères pour aller se refaire une beauté dans leurs ateliers ou laboratoires. "B REMONT" (-> en restauration) peut-on lire un peu partout dans les salles désertes...
Seules quelques salles du rez-de-chaussée expliquant les relations d'import et d'export avec les pays voisins de l'Antiquité ont retenu mon attention. A l'étage il y a aussi une collection inédite d'icônes et de pièces de monnaie.

 

Mais j'aurais du le deviner. Voyez : l'accès au musée, le lierre gagne les escaliers et les massifs ne sont guère entretenus. On a comme l'impression que le musée sort d'un long sommeil !

POur en savoir plus, rendez-vous sur Découvrir la Bulgarie

Le Festival de Théâtre interscolaire

de Varna

Mais que font donc tous ces gens sur scène ? Ils posent pour la photo du Festival de Théâtre  francophone interscolaire de Varna session 2012. Un agneau tiré d'une fable de La Fontaine, le loup, la grand-mère et son petit chaperon rouge de Gripari, des arbres qui cachent une forêt, des valets et un Scapin, un petit prince et un renard, de vieux mousquetaires et des cardinaux à lunettes, une concierge, des amants et des amoureux... tous les comédiens amateurs et passionnés se sont retrouvés pendant quatre jours pour entrer dans le jeu de la compétition et remporter le masque d'or d'argent ou de bronze, dans différentes catégories.

Et juste derrière eux, depuis les coulisses, les masques attendent d'être remis entre de bonnes mains lors que la cérémonie finale.

Ca sent bon le théâtre !

Je vous avais déjà emmenés sur la scène de l'Opéra de Sofia. Venez avec moi, aujourd'hui, dans les coulisses de l'annexe du théâtre de Varna !
En guise de prélude  : le théâtre de Varna, qui est aussi l'Opéra et la scène philharmonique.

 

Sur la grand-place de la ville, au milieu du secteur piétonnier, le théâtre de la ville, s'impose, majestueux, en tenue acidulée et décorée de quelques fantaisies rococo. 

Un petit brief sur ce théâtre ? Le théâtre Stoyan Bachvarov est le symbole culturel de la ville de Varna.  Débutée en 1921, sa construction s'est achevée en 1932. Il compte pas moins de 560 places ! Un peu plus tard, une annexe à ce théâtre a été crée avec 450 places. On l'appelle "la Filiale". Le théâtre de Varna possède sa propre compagnie de 20 comédiens. Chaque saison, il présente en moyenne 14 pièces et accueille environ 3500 visiteurs par mois.

Pour en savoir plus : www.dramavarna.com

Et voici les loges au dernier étage de "La Filiale" de Varna !

On peut dire que vous êtes des visiteurs privilégiés ! Sentez-vous le théâtre ? Hum, "ça hume bon", respirez à pleins poumons et retrouvez toutes vos émotions !

Les pianos de Sofia,

Enigme du mois de mai à Sofia !

Quel est ce regard vert ?

 A qui appartient-il ?

Eh bien, c'est un géant passionné par la musique

et il abrite dans sa tunique, un piano qui invite à jouer.

 

Un peu plus loin, en haut de la Rakovsky, tenue de camouflage côté église russe...

avec des écailles multicolores directement inspirées des tuiles vernissés de la toiture. 

ACTION EVENEMENTIELLE :

Ils sont 10 pianos éparpillés dans Sofia, les avez-vous vus ?

C'st à l'occasion du festival de la musique, ouvrez l'oeil !

Pour en savoir plus, vous pouvez rejoindre cet article sur PROGRAMATA

La fontaine magique

de Varna

Beau et émouvant portrait de famille que celui-ci : papa dragon demande à maman dragon de prendre soin de leur trésor en devenir avant de partir voler vers d'autres cieux. Sous cette sculpture, une fontaine chante de tous ses robinets de cuivre aux têtes de dragonneau.

 L'eau qu'ils libèrent de leur gueule est chaude et soufrée ! Un véritable élixir magique en provenance directe de l'ancienne civilisation, du temps où les dragons vivaient parmi les hommes en parfaite harmonie. Attention à celles et ceux qui y goûteraient : ils risqueraient d'être transposés de l'autre côté, là où ces animaux fantastiques sont partis se réfugier.

Cette sculpture se trouve sur le boulevard extérieur de Varna, 

près des piscines géantes et de la plage.

Et puis la musique arriva !

ASEN AND MILENA GROUP

c'est la Bulgarie d'aujourd'hui

c'est la musique que j'écoute en boucle

c'est une femme que j'adore

un guitariste extraordinaire

un son sensible

des mots magiques.

Leurs disques sont des pépites

leur énergie est belle belle belle si belle  !

Ils sont là, à la TEA HOUSE ce lundi 7 mai à partir de 20 heures !

Venez nombreux, c'est trop magique et ça soigne vraiment de toutes les tristesses !

Milena Karadjova - chant
Asen Hristov - guitare
Stanimira Naydenova - violon,, basse et flûte




Dossier sur leur album "la Terre du Milieu" que vous pouvez entendre sur leur site officiel: www.asenmilenagroup.com

LOVE

Photo prise sur la plage de Varna le 22 avril 2012.

En ce 6 mai, souhaits universaux de paix et d'amour pour tous !

La fonte ?

Et pendant ce temps, sur le Vitosha...

 

 En ce 1er mai, sur Vitosha, la fonte est annoncée mais il reste encore beaucoup à faire...

 

Le sol est détrempé, impossible d'avancer et dans la forêt la neige est encore haute !

C'est dans ce milieu complexe que naissent des crocus sauvages par milliers !

 

et c'est magique ! Tellement fragiles, tellement doux... partout où le regard se pose !

Cadeau partagé !

Couleur locale !

 

Si ce n'est pas de la pub... (ils ne sponsorisent pas ce blog non plus), mais alors... qu'est-ce que c'est que cette image? Non, je ne veux pas parler de cette banque qui n'est qu'une banque... comme les autres, et aussi... que les autres, bien sûr ! 

Bref, ce qui m'intéresse ici, c'est de vous montrer que les gens du marketing et de la pub, ont réussi à faire couleur locale pour la Bulgarie ! Eh oui : on peut demander -sûrement pour une somme car dans les banques, rien n'est jamais gratuit, même quand vous êtes client- de faire décorer sa carte de crédit avec une peinture ultra célèbre du Maestro ou une image de Martinitsi !  

Tout est bon, sans conscience..; toutefois que cela plaît au "divin client"', ça se vend ! 

Et par chez vous, quelle est la couleur locale ?

La promenade en bois à Ohrid

brute de toute sécurité !

En cette ville, le long des falaises, au bord du lac, court une promenade de bois fabuleuse, magnifique, qui mène sur une plage d'eau douce.

Dans les rochers prospèrent des grappes fleuries de giroflées ou de fleurs jaunes qui font penser à du colza.

La promenade est longue et lorsqu'on se retourne, la côte s'offre au regard, majestueuse, avec quelques sommets montagneux tout enneigés.

Plaisirs venteux !

Le Monastère Saint Jean

à Ohrid en Macédoine

 

Dimanche de la Pâque Orthodoxe, entre averses...

 et éclaircies, le monastère Saint-Jean s'est présenté à nous !

Pour s'y rendre, il suffit d'emprunter un petit sentier depuis la plage d'eau douce et de grimper, grimper, grimper... sans regarder derrière soi. C'est haut tout de même ! Là-haut, un prêtre orthodoxe parlant français vous renseigne avec plaisir et vous commente les fresques et l'iconostase sur la vie de tous les "Jean portés en sainteté" pour quelques leva.

Une plage d'eau douce

et une fantastique promenade de bois qui y mène

 N'est-ce pas fabuleux de voir pousser là un couple d'arbres ?

 

Le lac est doux et aimant, paisible et volubile à la fois...

et les barques de pêcheurs aiment à se chuchoter leurs derniers voyages !

Ecoutez-les avec gourmandise !